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"Je regarde la mer"

en duo avec Yves Jamait

La chanson "Je regarde la mer" évoque le thème de la séparation, sous la forme d'un dialogue bouleversant entre un père et son fils.

Pour lui donner toute sa profondeur Nicolas Fraissinet a proposé de l'interpréter en duo (version acoustique piano-voix) au talentueux Yves Jamait, grand nom de la chanson française actuelle. Après avoir été très largement plébiscité dès son arrivée sur Youtube, ce titre très attendu arrive enfin dans cette version sur toutes les plateformes de streaming dès le 7 avril 2023.

fichiers audio à télécharger avec nouveau mix optimisé pour streaming et diffusion audio 
 

Découvrir la version vidéo

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Paroles
(Nicolas Fraissinet)
Je regarde la mer, sous les yeux de mon père, qui me regarde faire.

 

Je regarde la mer, et mon enfant se taire, devant ses eaux en guerre.

 

Dis-moi encore une fois, que tu n’iras pas là-bas

Ne me laisse pas là, je viendrai avec toi.

 

Pour la dernière fois, je partirai sans toi,

Mais le monde ici bas vaut la peine que tu y sois.

 

Je suis jeune mais déjà vieux, car je n’ai pas trouvé mieux

Que de vouloir partir avant de construire,

Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire

De marcher sans faiblir.

 

Tu es encore un enfant, tu dois rêver d’être grand,

Moi mon corps est un soupir, une statue de cire,

Je ne saurais te dire, qu’il est dur et même pire

De marcher sans faiblir.

 

J’imagine mon père, sous les eaux de la mer, et finir par se taire

Je ne vois plus la mer, car mon enfant me serre, de sa tendre colère.

 

Dis-moi encore une fois que tu ne partiras pas,

Je m’enterre avec toi, si tu m’abandonne là.

Pour la dernière fois, tu resteras sans moi,

Mais tu me dois l’espoir que tu resteras

 

Je suis jeune mais déjà vieux, car je n’ai pas trouvé mieux

Que de vouloir partir avant de construire,

Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire

De marcher sans faiblir.

 

Tu es encore un enfant, tu dois rêver d’être grand,

Moi mon corps est un soupir, une statue de cire,

Je ne saurais te dire, qu’il est dur et même pire

De marcher sans faiblir.

Mais tu n’as pas le droit de me laisser comme ça.

Mais qui parle de moi, crois tu que j’ai le choix.

Tu veux déjà partir, tu n’me connais même pas.

Mon enfant, mon sourire, mon avenir est en toi.

Tu ne m’écoutes pas, à quoi bon ces prières ?

Ma vie est en éclats, je te laisse ma lumière.

Qu’ai-je à faire de ces mots, si je perds mon père ?

Qu’ai-je à faire de mes maux, car de toi je suis fier.

Je n’ai pas eu le temps de te ressembler.

Tu es bien assez grand pour savoir qui tu es.

Tu n’as pas l’air conscient de ce qui va manquer.

Ne crois tu pas autant que je vais te pleurer ?

 

Je te vois t’éloigner, ne te détourne pas.

Je l’entend m’appeler, au plus profond de moi.

Ne regarde pas la mer, où mon avenir se noie.

Je regarde la mer………..qui nous séparera.

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